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Je crois que si les mots bloqués dans ma conscience pouvaient sortir de ma plume
Ils submergeraient ma page de tristesse laissant en surface le regret telle une écume
Une faiblesse de tout garder rien lâcher
Une peur de tomber plus bas que terre pour finalement s’effondrer
Parfois je m'imaginais revivre chaque moment de ma simple vie avec plus de maturité et de recul
Aurais je fais les mêmes erreurs ? Les aurais je surmontées avec plus de courage et sans scrupule
Mon adolescence n'a pas été des plus faciles dirigée par une mère blessée par le mal de son mari
Un mari qui lui a depuis des années sombré dans le fond, avec ses amis
Oui son fidele compagnon dont le nom me dégoute L’alcool
Je ne lui en veux pas à lui car souvent on dit des ta de choses sur lui, que quand il choisit quelqu’un il le colle,
Mais aussi qu’il écoule aussi des tas de vies
A chacun son avis
En tout cas, il m'a enlevé la part de mon adolescence
Dans tout ces moment d'absence
Besoin de tout revivre de redémarrer, la tète prête à tout surmonter
De toute façon le choix n’est pas de survivre pour soi même, mais pour les personne que l’on n aimera a jamais
Mon adolescence c'est embrasé comme un jerrican d’escence, me laissant a cours d idées pour m’éloigner de ce brasier
Puis vint la phase où tout s accélère où tu commences à prendre ton indépendance désormais
Plus le choix l’école ou le travail tu dois choisir ta route
Que choisir une vie dans les études pour toucher beaucoup de billets ou un métier peu payé mais dont tu seras fier de t y être tant voué
Moi toute les vocations me plaisent du moment que je peux apporter un brin de mon savoir faire
Ton adolescence quitte peu a peu ton corps et te change en l'homme qui est en toi c’est l’heure d’une tout autre ère
Triste choix visé toujours plus droit imaginer ta destinée sans se tromper
Les choix que tu dois faire souvent se terminent en leçon mais certes cela éveille finalement ta raison
L’essentiel dans la vie n’est pas la durée de ton apogée mais les longueurs des actes accomplis
Ce cycle se dresse devant nous telle une roue et elle n’a pas fini de tourner
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