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Au fond de l'abysse, je vois ma vie entrecoupée
De scènes dont l'issue m'emprisonne l'âme
C'est au fond de mes délires que la coupe est
Hélas, ma rêverie de moins en moins ne se glane…
Ô Kafka, Ô Sand, je marche solitaire dans les flammes
Comme mes glaïeuls, rien ne dure et tout m'entourloupait
En une branloire incertaine au fil du temps
De mes chants d'amour, lentement je me repens.
Suis ton étoile, me raconte toujours l'étang.
Sois comme moi tissant du vide à l'étant, me dit la fleur.
Sois ton propre énigme et que je t'emporte autant
Très haut dans le firmament, rajoute l'aigle à mon coeur.
Et pourtant, on tire violemment sur l'oiseau moqueur
Qui poétise les bardes des confins flottants
Sur la rive des âges éternels et placides
Où la solitude est une force et est sans rides.
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Bonjour Vague ! Contente de te voir passer ici, avec un texte un peu hypnotique dont j'aime les clins d'oeil (l'oiseau moqueur par exemple, j'adore ce livre)
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Je te remercie nicole. En effet, je passe rarement ces derniers temps. ITESS, je suis content de te voir t'exclamer mais ce n'est qu'un petit poème fait vite fait bien fait.
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salut ami un bon texte
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Suis ton étoile, me raconte toujours l'étang.
J'adore les personnifications dans les textes
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Je vous remercie Nouga et Slamdecoeur. Je fais ce que je peux. C'est vrai que moi aussi, j'aime les personnifications Slamdecoeur.
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Je prends plaisir à découvrir les nouveaux textes du forum. Ici une invitation bienvenue à la méditation.
Je vais donc suivre mon étoile.
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