Forum Grand Corps Malade et slam

Expression de mes visions les plus étranges
J’agis sur le conscient de ces engs’ en travers
Qui me poussent à renoncer à la merde
Pour briller, enfin, pour tenir face à la défonce.
Alors je me grandis mieux, mes mots deviennent magiques.
Tragique est la vie que tu aspires devant une pipe à eau.
Et regarde mon réservoir est plein de napalm
Quand je slame c’est normal ou dingue, mais je fais mal.

Change ta manière de percevoir le monde dans la souffrance
On ne trouve que le poison des doutes, la chiasse sur le trône
Me saoule je chie sur toute ses conneries au culte de l’ignorance.
Ma tête est clair, mes mots jaillissent comme l’éclair.
Je roule ma bosse dans cette vie, en survet streetwear.
Ma chair est un morceau de gloire au force de la nature.
Mon esprit est dans une tornade et des lames percent les plus téméraire.
Chienne de vie, se défendre est devenue une obligation.

En position de l’indien, je taille dans ma part de joie
Un putain de tranchant, comme un rire sur toi.
Tu vois il ne faut pas plus pour que tu ranges tes propos
De nazi sous produit, je t’emmerde avec respect
Et si tu cherches à me prendre ma Paix, je deviens meurtrier.
Au paradis tout est possible dieu est mort au fond des choses
Je me fous de connaître ma destination finale.
Je connais le film des autres, moi la mort je la prend en levrette.
La faire jouir c’est la rendre aussi belle qu’un fruit de le vie.
J’assène ces mots à tout ceux qui veulent se dévaster par peur.
C’est presque de la lacheté, mais c’est aussi une armure.
Alors j’admets ce que par quoi je suis passer, mais me faut
D’autres possiblités, je suis pas un criminel, je suis juste réel
Ma poésie est une arme de feu et mon obstination sans mesure.
Retiens pas tes coups je te descendrait de ton piedestal vite fait.

Mesure sur mesure, j’allume les feux de l’espoir, dans une explosion de vie.
Ris bien ta mort au coin des rues je te suis dans ‘l’ombre comme le soleil
Attends de germer à l’est je te tue rapidement comme la lumière parcours le temps.
Je ne suis pas sûr, je suis dur et violent dans mes moments de joies
Comme dans le pire endroit de l’âme humaine.
Donne moi, un peu de vie dans cette paume tendue, je te donnerai la clé de la vie.
Mon rêve est de devenir la pire chose pour ces monstres invisibles.
Un sentinelle dans les ténèbres, un chevalier noir près à tout pour réduire au silence.
Les illusions qui nous pousse à croire que nous serons un jour les maîtres.
Je reste sûr de mon apprentissage demande à Itess, si il faut continuer.
Il te dira d’aller te faire voir, ou de te réaliser.

Ainsi commence une nouvelle Lune pour les éons à venir.
J’arrive cruellement je vais dans ma tranche de vie, une entaille forte.
Je suis pas un dingue suicidaire, cette plaie qui s’infecte de bonheur
C’est juste un Sourire.