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Je constate la merde qui infecte l’Histoire du monde.
Je réfléchis la lumière, absorbe le savoir, j’ai appris de l’espoir
La force qui me brûle, que je véhicule comme l’âme de Platon
Plume et parc je parcours les parsecs universels en quête de sens
Quand le jour se lève, les ténèbres grondent reculent.
Quand la nuit tombe, les ombres vives renaissent
Quand la vie brille leurs mensonges nous apparaissent.
Quand le jour sur lève, la peur l’orgueil déchante
Quand la nuit tombe, je redeviens force dans ces lyrics
Quand la vie brille, les coups portes plus violents qu’un automatique
Derrière mes mots je sais que j’ai perdu du temps
Je sais que je me suis égaré, que j’ai oublié l’enfant
Et ne plus vivre c’est perdre son âme de guerrier
Parmi les choses que je regrette c’est d’avoir sceller
Ces mots qui me hantent, ces phrases que je chante
Vous devriez prendre cette main, prendre le flow, prendre ceci
Comme un ami, un rafiot dans le tumulte, face à nos ennemis
Nous ne serons pas durs, nous serons aussi sourds que ce système
Nous avons de l’amour et la paix pèse son poids, je ne veux pas de haine
Mais ils m’ont tellement brisé, que je ne peux faire autrement
Je dois donner la même aux hommes qui ont enfermé l’enfant.
Sombre prophétie au théâtre de la banalité, sombre HIP HOP
J’avance les yeux bandés le long d’une falaise, la mort n’est pas un antidote.
Je connais la sentence des pouvoirs qui détiennent les clés du destin
Notre humanité. Entre leur main souffre de la peur et de la faim
Seulement la vérité n’appartient pas aux éléments qu’ils soient du chaos ou de l’autorité
L’existence est un équilibre que j’accepte comme un enfant devant la télévision éclatée.
Pourquoi leurs mensonges font de nous des sujets a ton avis,
Car nous en acceptons le prix.
Vivre dans le silence est préférable à la paix avec le canon des armes.
Pourtant le monde se répand dans mon esprit et je perçois les larmes,
La guerre, le sang qui coulent de nos artères.
La Mère-Terre est devenue un putain d’empire de fer
Pour une poignée de mains entre le mal et le bien.
Jugement impossible à faire sur les raisons et du lien
Derrière chaque guerre, les forces d’états usent de mercenaires
Pour rendre intrassable leurs actes obscurs durant les guerres.
Je discerne mal comment derrière les cernes et la faim on voudrait contester les forts
qui s’en remettent à des trafiquants d’armes et d’opium et dealeur de mort
Ou en font des terroristes pour un impayé. La réalité n’est pas une fiction.
Au théâtre de la banalité, nos vies sont infimes pour eux, nous sommes une attraction
Juste plus productive, qu’une Afrique qu’ils détiennent à 100 %.
La chine montre les dents mais ils nous montrent le pire du communisme
Pour nous prouver que nous sommes dans nos droits en restant des racistes nationalistes.
Je vois tant douleur autour de moi, comment parler de ça à un gars qui souffre au RSA,
Lui dire que ces moyens permettent à l’état d’assassiner une famille sans qu’il le voie.
Nous sommes relier, tous sur ce monde qui nous rend humain, brave, vrai
Je te le dis mec, on est relié, notre amour et notre monde peuvent nous sauver.
les forces qui maîtrise le monde l’information est une partie de leur emprise,
mais l’école et les produits qu’ils nous désignent sont à la même enseigne.
Pour abaisser un prix on trahi une firme qu’on a construit,
Pour augmenter un prix on diminue la facilité d’en vivre.
C’est la balance de l’âme dans le monde égyptien.
Et je marche en équilibre sur la balançoire du square
Comme quand nous étions petits
Et que nous lancions loin les choses importantes
Car elles ne nous concernaient pas.
Ils font de l’état un organisateur de collecte d’argent,
Mettent ceux qui seront les plus honnête ou les plus rapide
Qu’importe le monde n’appartient pas à nos pays,
Mais à la banque qui travaille à l’avenir de l’humanité.
Est-ce mal bien ?
Je ne sais qu’une chose c’est une mauvaise façon de voir l’homme,
Dieu est devenu l’argent. Comme dieu, l’argent nous relie,
On paye pour aimer, mourir, laisser vivre.
C’est une sombre prophétie mais c’est réel HIP HOP
Mon ciment est ma syllabe, la rue est ma phrase, le croisement je doute
De toutes destination car ma nation a l’air de s’en foutre.
Regardé-je place dans ma voix toute les puissances du ciel et de la terre
Ma putain de liberté moi j’ai vu des étoiles mourir et renaître
Qui peut prétendre prendre ma part de temps, j’approche comme D14 en 2012
Comme du C4 saisie le serpent de la mort sure
C’est une rage qui me donne du sens.
Cette existence est une chance
D’avancer sur les ombres et le silence
Alors je balance ma plume prend le micro et j’chante.
Les blessures, les brûlures subies subsistent
C’est une jeunesse qui parle qui résiste
Sur Volt, à fond, survolté j’arrive sur la piste
A quoi sert de me vendre si je ne crois pas en tout ce monde
Condamné je ne serais jamais dans la ronde, mais dans la fronde
L’effondrement de vos valeurs sont une évidence que nous avions raison
Dans ma tête ces maîtres du jeu me manipulent et je me débats
Comme je souffre de cette image qu’il renvoie je dois prendre le pe-ra.
Comme on prend un molotov, et je grave mes rêves ma rage ce que je suis.
Les temps sont durs, difficile de tenir pur, c’est clair.
Les types craignent, chacun sont enseignes, tous sur les nerfs
Prêt pour être aux côtés des miens même face à l’enfer
J’avance droit sur le mur, faire sentir ma tornade de lave
Elève sous casques-son, je répète ces anciens versets graves
Comme un dingue, comme on se souvient de l’histoire des braves.
Rien qui nous rende meilleur ou pire qu’un autre je te rassure
Juste la sensation de la mesure claire, le passé présent d’un futur
Je me plante là, depuis 30 ans, je vis ma merde et je récure.
L’Acte final sur toutes les lèvres, pourtant le ciment repeint en silence
On attend encore que sa pète, l’inquiétude guette, on parle d’une chance
Mais au regard de tout ce temps passé à le dire, faudrait le faire, je le pense.