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Texte dit sur Ezekiel : Soundcloud
Où étais-tu ? Quand j’avais peur et mal, quand ma peau était une étreinte de trop.
Où étais-tu ?
J’appelais à l’aide et je demandais ta grâce, mes larmes en feu, brûlant mon âme.
Où étais-tu ?
J’avais besoin de toi, besoin de savoir tant sur moi par tes yeux immenses.
Où étais-tu ?
Je crève à mesure des jours qui passent et passent et je me sens telle la grande glace.
Prêt à défaillir, où étais-tu, mon amour comme une promesse éternelle,
Je te l’aurais faite même si tu étais mur.
Je crève à mesure des jours qui passent et passent.
Où étais-tu ?
Là , traine mon âme malade, mon corps détruit, absurde.
Là , j’erre image sans visage, sans compagnie bon sang…
Où étais-tu ?
Les plus grandes choses de ce monde et l’océan-même
Sont comme des palliatifs, pour nourrir ma peine.
Où étais-tu, quand à mon bras devant les eaux furieuses
J’attendais une amie, une vie, ma vie au bras de la joie.
Je me souviens d’une fille, qui pour un/deux mots.
Vous dits un poème, qui pour un deux maux, devient douleur.
Je me souviens d’une fille, qui par sa peau à fait de mon cœur, une couleur.
J’ai effleuré ces signes lancés à l’aveugle dans le putain de néant.
Se néant dont je suis né, fait, conduit par la poésie de ses lèvres.
Je l’appelle confiance révélée, je souffre deux siècles de cet abandon
Où étais-tu ? Hein quand je mourrais moi, dans mes silences et mon aboie.
Ne me donne pas de leçon, car aimer, croire, espérer tu ne sais pas.
Mon cœur est si lourd que je semble sans cesse tomber.
Mais c’est là , inavoué et beau, j’ai rencontré une fée.
Elle m’a donné une chose magnifique, moi le laid.
Vous savez mesdames, messieurs, elle m’a embrasé.
Enflammé, hanté comme on se souvient et pleure,
Les plus beaux moments passés.
c'est poignant de le lire, c'est poignat de l'entendre.
Sourtout ne t'arette jamais d'écrire et de dire!
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Rien à rajouter sur ce que dit Nicole !
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De ses ailes, ta plume transperce la page blanche et l'encre, invisible, se déverse et la noircie de ses torpeurs...
Sans elle, le petit ange ne se sent plus l'âme de voler, mais de ces plumes brisées, vient s'agenouiller devant ce dédale de blancheur,
Et de ses larmes, va assécher le ciel, pour qu'à l'été polaire, l'astral scintille, s'illumine à la pépite de l'orpailleur.
Dernière modification par lamalice (27-07-2012 11:02:19)
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ailes et elle, pèle-mêle des émotions, tristesse sournoise, qui leurre et emplie l'âme de noirceur.
De cette noirceur je lave ma tête sur la page blanche et guérit de moi, pas d'aile...
Merci Lamalice, nicole, et dan
sans elle comment battre des ailes
je te souhaites que demain t'apporte la solution
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nicole a écrit:
c'est poignant de le lire, c'est poignat de l'entendre.
Sourtout ne t'arette jamais d'écrire et de dire!
Je ne peux pas dire mieux ! Et ton commentaire moonz, est aussi poignant que ton com
Dernière modification par mmagweno (27-07-2012 21:08:41)
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Je l'ai lu hier soir sans pouvoir faire aucun com...tant cela me touchait...je suis revenue aujourd'hui pour te dire que c'est magnifique
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