Forum Grand Corps Malade et slam

laid ga lit t'é des chances alors

la laideur ce n'est pas les plaideurs non plus


A l’encontre de la beauté, la laideur dans l’art n’a que rarement été traitée par les sociologues, les philosophes et les critiques d’art.  La laideur n’a pas fait problème[2]. On l’a bien souvent réduite à être « manque de », « privation de », « simple trace marquée par la déception ou le regret »[3] , comme s’il suffisait d’énumérer les critères du laid pour le renvoyer au non-être ou au domaine négatif du beau[4].  Pourtant, si pour Passeron « il n’est pas sûr, que la chose laide soit seulement l’échec d’une chose de beauté, ni le laid un non-être du beau »[5], que pour Adorno « le laid doit constituer ou pouvoir constituer un moment de l’art »[6], alors n’est-ce pas en envisageant une possible autonomie du laid que nous pourrons parvenir à déterminer comment la laideur dans l’art a été révélatrice d’une certaine authenticité existentielle ? Cet article se propose donc d’aborder de manière certes non exhaustive en quoi la laideur n’est pas une simple question annexe et dans quelles mesures elle implique d’être pensée dans sa spécificité même.

Un sujet original.
Et très bien traité.
Une fois, dans le sud, j'ai vu un magasin sur lequel était écrit:
"Il n'existe pas de femmes laides, juste des femmes qui s'ignorent.

"La beauté cachée
Des laids des laids
Se voit sans
Délai délai"
je n'en suis pas sûre, pour la brieveté du délai, quoi qu'en dise Gainsbourg

Il faut aussi savoir que la laideur est un truc de pauvres, dixit cette élite parfois alitée.

t'as bien raison les fleurs offrent le même parfum pour tous

Bah oui " il faut y croire un peu y'a bien des fleurs qui poussent dans le sable " GCM

merci de ressentir ce texte a sa vraie dimension

"la laideur est une auberge espagnole avec glace sans tain"