Vous n'êtes pas identifié.
J’ai raccroché le micro comme on raccroche ses gants,
C’est le moment de le remettre sur ON et de taper dedans,
Challenger du 25% c’est dur mais je suis confiant,
Apparemment je ne suis pas le seul à mettre un protège dent.
Je repars à l’entrainement calmement,
Petites foulées, les combats sont éprouvants, il y en a tellement, si peu de temps.
Éternelle rencontre, face au verbe faux, défendre l’idée que l’on peut vivre ensemble,
Parce que tous les rires, toutes les larmes se ressemblent, non ?
À m’en briser les mains Je cognerais, sur l’exclusion,
Sur l’injustice faite à ceux qui sont désignés comme des causes,
Sur le mensonge congénital des fausses solutions.
Les nations sont faites de leur Histoire, ceux qui désirent l’écrire ne sont pas ceux qui la payeront.
Nous savons ou conduit la méfiance quand on se veut diffèrent de ses voisins,
Je crie que ce drapeau est aussi le mien et qu’il ne restera pas aussi beau entre leurs mains.
Je veux qu’il flotte dans un pays ou la liberté peut trouver la paix et reprendre des forces,
Ou personne n’est considéré comme étant en dessous de l’égalité,
Qu’il soit symbole de fraternité entre tous les visages qui ont fait son identité.
Je lancerais mes mots comme on monte sur un ring, avec l’intention de convaincre pour vaincre, mettre KO les peurs et la haine que j’entends dans les discours promettant des coupables.
Petites foulées, calmement, mon cœur doit être résistant,
Le mal est ancré profondément, il se répand, se nourrissant du sang des oubliés,
Je ne le mettrais pas à genoux au premier coup, je ne plierais qu’à bout de souffle.
Dans l’honneur, l’abnégation, à tort ou à raison je dirais :
NON à toutes formes d’inquisition.
NON aux thèses liberticides et ultra protectionnistes,
NON Ã ceux qui bruleraient la maison en promesse de douces saisons.
La flamme veut briller de ses plus tristes lueurs, révélant le noir contre le blanc,
Le pauvre contre les autres, les craintes contre un bulletin de vote.
Des mots violents comme des bruits de bottes.
Dernière modification par NAS'R (02-06-2014 15:08:11)
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J'adore.
"Ce n'est pas la république qu'il faut sauver. C'est la France."
J'dirais plutôt que c'est le monde.
Une idée qui brille de façon plus intense.
Ensemble, naviguons sur de bonnes ondes.
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Un texte fort et engagé comme je les aime, bravo!
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Je vais pas faire original. Tu rejoins mes idées !
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j'adhère
bravo ami
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Bravo, j'aime beaucoup l'image du boxeur qui veut convaincre pour vaincre.
Oui, on peut vivre ensemble, les larmes sont pareilles pour tous.
J'ai trouvé l'autre jour un truc pour tenter de me consoler des 25%... Bayrou en 2012, il faisait presque 19%, et en 2012 moins de 9%, car les gens en face de lui avaient changé.
Espérons pour la suite qu'une personnalité forte avec des idées moins extremes puisse rassembler tous les mécontents de la politique.
Mais il y a le fond de commerce nauséabond qui marque des points, et ça ça fait peine et peur pour les générations futures
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Tout est parfait, percutant, une fin qui fait serrer les poings!
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J'aime bcp!
mais ne raccroche pas l'ami, il reste encore tant de combats à mener.
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J'aime bien ce type de parallèle, ça me rappelle mon " comme un boxeur "
Bon Taf !
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